Purificateur d’air pour voiture
Il suffit de marcher le long des trottoirs ou de se trouver en hauteur pour apercevoir une forme de brume et de smog surtout en hiver ou en été par beau temps. Cette visibilité immédiate témoigne d’une réelle pollution de l’air extérieur. Pendant des décennies, les recherches effectuées se sont concentrées principalement sur la qualité d’air à l’extérieur sans prendre en compte la pollution à l’intérieur des véhicules qui peut être 10 fois plus importante que la pollution extérieure et naturellement devenir un problème de santé grave, pour des causes allant d’une fréquence cardiaque et d’une tension artérielle élevées à un risque accru de somnolence du conducteur.
Mais ce n’est pas tout. La recherche confirme que la pollution de la circulation joue un rôle dans le développement de l’asthme qui va au-delà du simple déclenchement des symptômes.
- PORT 18€ -
LE MEILLEUR PURIFICATEUR D'AIR DE VOITURE - ADAPTÉ COVID-19
- Le filtre HyperHEPA Plus élimine jusqu'à 99% des particules jusqu'à 0,3 micron de l'habitacle de votre véhicule, y compris les PM2,5 , le CO2 et la suie de diesel ainsi que les polluants courants de la circulation comme le SO2 et le NOx.
- Système de filtration efficace qui nettoie l'air de votre voiture jusqu'à 20 fois par heure
- Moteur de ventilateur polyphasé puissant, efficace et ultra-silencieux permettant un fonctionnement silencieux et constant sans perte d'efficacité de filtration.
- Ventilateur centrifuge à 270 degrés qui aspire l'air de l'habitacle à travers un filtre à particules et un filtre à gaz à trois étages pour une élimination maximale des polluants atmosphériques nocifs.
- La fixation à trois bras vous permet de fixer solidement Atem aux point fixes de votre véhicule.
- Filtration HYPER-HEPA : 99,97% sur particules de 0,3 micron et 99,5% sur particules de 0,003 micron. Norme EN1822-H13.
Plus les années passent et plus le trafic auto-routier s’intensifie. On passe de plus en plus de temps sur la route. En 2018, sur les routes de l’Union Européenne ont circulés 237 millions de voitures particulières. Aux Etats Unis, juste avant les restrictions liées à l’épidémie de Covid 19, les déplacements mensuels sur route et sur rue étaient de 253 milliards de kilomètres-véhicules, valeur en hausse 5,3 milliards de kilomètres-véhicules en une année.
Dans beaucoup de cités, villes et mégapole, la congestion automobile est revenue après la période Covid. Plus la pandémie s’atténuait, plus le trafic automobile s’aggravait.
Pourquoi l’air à l’intérieur d’une voiture est-il plus pollué que l’air extérieur ?
Tout simplement par un système de ventilation ou climatisation liée aux températures extérieures. Il fait chaud et on ventile ou on climatise même quand le trafic est bouché. La même chose quand il fait froid. On met le chauffage en absorbant les émissions des véhicules environnants et on les fait circuler dans l’habitacle. De plus, étant donné que les véhicules ne sont pas étanches à l’air, les polluants atmosphériques pénètrent dans l’habitacle par les bouches d’aération et par toutes les ouvertures.
Les niveaux de polluants sont souvent plus élevés à l’intérieur parce que les voitures absorbent les émissions des véhicules environnants et les redistribuent en circulation fermée.
Les polluants sont beaucoup plus concentrés dans l’habitacle d’un véhicule que dans l’air extérieur. Les niveaux de certains polluants atmosphériques et de certains composés toxiques peuvent être jusqu’à plus de 10 fois plus élevés à l’intérieur des véhicules que le long de la route.
On retrouve un panel de polluants aux particularités très inquiétantes, ce qui pourrait alerter les personnes conduisant de longues heures dans les villes où l’air est pollué à l’image des taxis. Il existe également la pollution inhérente aux matériaux constituant le véhicule et les bons diffuseurs d’ambiance aux caractéristiques très nocives pour la santé respiratoire. Selon les résultats de 2012 du Centre écologique, plus de 275 types de polluants différents peuvent être présents dans une voiture à un moment donné.
Qu’y a-t-il dans les gaz d’échappement des véhicules ?
Les gaz d’échappement des véhicules à combustion sont un cocktail de polluants particulièrement dangereux, notamment :
- dioxyde d’azote (NO2): Gaz à l’odeur particulièrement forte et responsable de problèmes respiratoires. Irritation des poumons et moindre résistance aux germes provocant les infections respiratoires.
- monoxyde de carbone (CO): Gaz incolore, inodore et toxique. Très dangereux . Symptômes à court termes comme étourdissement, fatigue et confusion. Puis perte de connaissance et mort.
- ozone (O3): L’ozone existe dans l’atmosphère haute et nous protège des rayons UV du soleil. Au niveau du sol, c’est un élément toxique. Il se créait par l’impact du soleil sur les oxydes d’azote (NO) provenant des véhicules. L’ozone est le principal composant du smog et est un irritant pulmonaire majeur. Une exposition à long terme peut provoquer de l’asthme et provoquer des problèmes majeurs structurels graves et permanents aux poumons.
- dioxyde de soufre (SO2): Ce gaz provoque un essoufflement et des douleurs thoraciques. Sur un long terme, risque accru de maladie respiratoire aiguë et modifications permanentes des poumons.
- particules fines (PM2.5): De diamètre compris entre 0,1 et 2,5 microns.. Responsable de pathologies respiratoires telles que l’asthme, la bronchite et l’emphysème.
Augmentation du potentiel de problèmes cardiovasculaires, comme l’arythmie et les crises cardiaques. Les PM2,5 représentent le dixième de toutes les particules dans l’air…et ont été responsables d‘environ 160 000 millions de décès dans les plus grandes villes du monde en 2020. - particules ultrafines (UFP): Particules inférieures à 0,1 micron de diamètre. Elles représentent environ 90% de toutes les particules en suspension dans l’air. En plus d’être les plus nombreuses, elles sont aussi les plus dangereuses pour la santé. Atteinte des alvéoles pulmonaires et migration dans le sang. De là, elles voyagent grâce à la circulation sanguine vers tous les organes vitaux, dont le cerveau. 6% du temps passé par jour dans nos voitures peuvent entraîner plus de la moitié de notre exposition aux UFP.
- composés organiques volatils (COV): Gaz émis par différents combinés chimiques, notamment l’acétone, le benzène, le formaldéhyde, le styrène et le xylène.. Emissions par les tuyaux d’échappement mais également par le dégagement de gaz chimiques dans l’intérieur des voitures. Ces gaz peuvent provoquer des maladies de dégénérescence cellulaire. Egalement atteinte su système respiratoire et asthme.
Intersections, arrêts aux feux rouges et panneaux de Stop
Dans la revue Atmospheric Environment, une étude a permis de démontrer des présences différentes de polluants atmosphériques à l’intérieur et à l’extérieur des véhicules aux intersections de la circulation, dans les zones urbaines et suburbaines. Les constatations montrent que :
- s’arrêter aux feux rouges amplifie considérablement l’exposition à la pollution de l’air
- les croisements de rues avec des feux de circulation révèlent des concentrations de particules jusqu’à 30 fois plus élevées que sur les routes libres.
- Les conducteurs passaient 2% de leur temps à des intersections réglementées par des feux de circulation, ce qui représentait 25 % de leur exposition à la pollution aux particules. Cela n’est pas nouveau car les agents de circulation dans les années 70 qui se trouvaient au milieu des axes de circulation étaient victimes de mésothéliome, cancer de la plèvre dû aux particules d’amiante qui composaient les plaquettes de frein.
Les pourcentages de polluants atmosphériques sont importants partout où la circulation est ralentie ou arrêtée, ceci avec des changements de conduite obligeant à des accélérations des conducteurs. Il en est de même pour tous les bouchons y compris ceux créés par les travaux comme à Paris où le taux de polluants émis est maximum ou pour les services de repas dans les établissements à fenêtres (commande sans sortir de voiture).
Un trafic important signifie une forte pollution
Quand une voiture est bloquée dans un trafic de circulation très dense ou lorsqu’elle est bloquée à un feu rouge, la pollution à l’intérieur des voitures bloquées est jusqu’à 40 % plus élevée que lorsque la voiture est en mouvement. C’est d’autant plus vrai lors des températures extérieures basses ou hautes qui nécessitent un chauffage, une ventilation ou une climatisation. L’air sale extérieur est aspiré par le système de ventilation de la voiture et augmente fortement le pourcentage de polluants dans l’habitacle.
Une étude de 2021 publiée dans Science of the Total Environment a démontré, dans 10 villes du monde, que l’exposition aux particules était la plus élevée lorsque les fenêtres étaient ouvertes surtout durant les heures de pointe du matin. Grosses particules en extérieur et particules fines plus importantes lorsque les ventilateurs étaient allumés.
Comment se protéger des polluants de l’air dans les voitures ?
Les polluants de l’air à l’intérieur des voitures représentent un véritable cocktail et un réel danger pour la santé, toujours suivant la dose d’exposition par rapport à la durée de temps d’exposition. La première décisions responsables à adopter est :
- Utilisez un purificateur d’air de voiture. IQair a développé le purificateur d’air portable Atem Car qui utilise la technologie de filtration des particules en qualité Hyper-HEPA 0,003 micron. De plus un média en phase gazeuse permet de piéger les particules ultrafines et capture les polluants en suspension dans l’intérieur des voitures.
- Gardez une distance de sécurité avec les véhicules qui vous précèdent, en particulier les camions et les véhicules diésel.
- Essayez d’éviter les moments de forte circulation avec des routes moins encombrées mais également avec moins de feux de circulation, même si vous perdez un peu de temps.
- Lorsque vous êtes dans la circulation au ralenti, dense ou à un panneau d’arrêt ou à un feu, fermez vos fenêtres et gardez une certaine distance avec le véhicule qui vous précède.
- Ne comptez pas trop sur le système de filtration d’air de votre véhicule. Ils saturent vite et manque vraiment d’efficacité pour éliminer les particules ultrafines, les COV ou d’autres polluants. De plus, l’air entrant dans l’habitacle par les fenêtres et les portes n’est pas filtré !.
- Évitez absolument les assainisseurs d’air ou les désodorisants deIls dégagent de multiples COV nocifs et aggravent fortement la qualité d’air de votre habitacle.
- Gardez l’intérieur de votre voiture propre afin de minimiser les particules de poussière qui peuvent se combiner aux polluants existants. Ne nettoyez pas l’habitacle de votre voiture avec des produits chimiques.
En conclusion, prenez conscience que nous n’avons qu’une seule santé et que la voiture avec la pollution atmosphérique représente un réel danger. Il existe des mesure pour minimiser notre exposition aux polluants de la circulation. Sur une année et pour le coût d’un café par jour (1 euro), le purificateur d’air de voiture ATEM CAR vous offrira un espace de respiration plus sûr dans votre activité quotidienne en vous évitant de subir la pollution atmosphérique urbaine.